Invalides et handicapés adultes : quelles ressources après 60 ans ?

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[BB]Relayer la pension d'invalidité[EB] C'est la personne invalide qui doit présenter sa demande de retraite auprès de toutes les caisses auxquelles elle a cotisé au cours de sa carrière, et au minimum, auprès de la caisse nationale d'assurance vieillesse. Certaines personnes invalides qui travaillent encore à 60 ans peuvent cependant avoir intérêt à poursuivre, quelques années encore, une certaine activité afin d'acquérir des droits supplémentaires à retraite. Pour celles dont les ressources demeurent cependant insuffisantes, il est toujours possible de faire une demande d'allocation supplémentaire du Fonds de solidarité vieillesse. [BB]Relayer l'AAH [EB] Si la personne handicapée a travaillé assez pour faire valoir des droits à la retraite selon le droit commun, les démarches doivent être faites avant 60 ans, âge où en principe l'AAH n'est plus versée. Dans le cas où l'ensemble des pensions reste inférieur à l'AAH, il est possible de faire une demande d'allocation supplémentaire au Fonds de solidarité vieillesse. Sur avis de la Cotorep, certains bénéficiaires de l'AAH dont le taux d'incapacité est d'au moins 80 %, peuvent éventuellement percevoir un « différentiel d'AAH ». [BB]Relayer l'ACTP [EB] Lorsqu'ils atteignent 60 ans, les titulaires de l'allocation compensatrice pour tierce personne ont le choix entre le maintien de cette allocation ou son remplacement par l'allocation personnalisée d'autonomie (APA). Il est conseillé de choisir l'APA, souvent plus intéressante. Comme nous l'avons dit précédemment, il est toujours possible, si la prestation d'APA est inférieure à l'ACTP précédente, d'obtenir le versement d'une allocation différentielle afin que soit maintenu un niveau égal de prestation. (avec Santé Magazine )
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