Paris, 11 mars 2014 (AFP)
Cette mesure concerne les candidats au baccalauréat général, technologique et professionnel qui habitent loin d'un centre d'examen ou ne peuvent pas se déplacer en raison d'un problème de santé et notamment d'un handicap, ou ceux qui sont incarcérés.
Le décret prévoit que les élèves pourront échanger directement avec les examinateurs grâce à une des installations audiovisuelles placées sous le contrôle du rectorat. Comme pour des épreuves classiques, un surveillant, désigné par le chef du centre d'examen et présent pendant toute la durée de l'épreuve, sera chargé de vérifier l'identité du candidat, remettre le sujet de l'épreuve et d'empêcher la fraude.
Pour les candidats en prison, les personnes chargées de surveiller leur détention seront autorisées à rester pendant l'épreuve. Les personne chargées d'apporter une aide en raison d'un handicap ou d'une assistance médicale sont également autorisées.
En cas de coupure de communication ou de défaillance technique pendant l'épreuve, l'examinateur pourra décider de prolonger l'épreuve ou de l'interrompre et de la reporter à une nouvelle convocation.