Aide publique: le handicap et la santé en tête des priorités des Français
[B1]Aide publique: le handicap et la santé en tête des priorités des Français[E1]
PARIS, 18 sept (AFP) - Trois Français sur quatre placent l'aide aux personnes handicapées, la santé et les personnes âgées en tête des priorités
"qui doivent être financées par l'impôt et les cotisations sociales", selon un sondage TNS Sofres publié jeudi par l'hebdomadaire catholique le Pèlerin.
Ces trois priorités se suivent dans un mouchoir de poche, 76% pour le handicap, 74% pour la santé et 72% pour le grand âge, l'éducation venant au
4ème rang (67%), devant les retraites (65%).
La question posée propose dix choix possibles, en précisant qu'ils s'entendent "quel que soit le prix à payer", les réponses devant être hiérarchisées. Elles sont classées selon le nombre de citations par poste.
La sécurité, forte préoccupation en 2002, ne vient qu'au 6ème rang (58%), suivie de près par l'aide à l'emploi, l'aide aux familles et l'assurance chômage. En queue de classement, la justice (47%) précède la culture et la défense, lanterne rouge avec 33% de citations.
Logiquement, l'aide aux personnes âgées vient au premier rang des réponses à partir de 35 ans alors que les plus jeunes (18-34 ans) privilégient la santé. Pour le handicap, la tranche d'âge 35-49 ans semble la plus concernée
(80%).
Les fonctionnaires, les professions intermédiaires et les cadres plébiscitent la santé (80% et plus).
Ce sondage a été réalisé par téléphone les 23 et 24 juillet 2003, auprès d'un échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population nationale âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
[BI]« Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© (2003) Agence France-Press.Toutes les informations reproduites sur cette page sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l'accord préalable écrit de l'AFP. L'AFP ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. ».[EI]