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Le Ministère de la Jeunesse et des sports lance une campagne de communication coup de poing contre les idées reçues sur la pratique du sport par les personnes handicapées. Diffusion nationale dans le cadre des Jeux paralympiques de Rio 2016.

Rien ne l'arrête. Doublé gagnant pour Marie-Amélie Le Fur qui remporte un deuxième titre à Rio, cette fois-ci sur le 400 m. Une femme en or massif !

Quand le sport est la "seule raison" d'exister et que le corps ne permet plus d'en faire, peut-on encore vivre ? L'athlète paralympique belge Marieke Vervoort apporte sa singulière réponse : recourir à l'euthanasie, un choix assumé et défendu.

170 000 spectateurs le samedi 10 septembre pour les Jeux paralympiques de Rio, plus que pour les JO. Avec des prix d'entrée sacrifiés, les organisateurs retrouvent le sourire... Et les athlètes peuvent enfin compter sur la ferveur populaire !

L'équipe de France a décroché ses 5e, 6e, 7e et 8e médailles aux Paralympiques de Rio, le 11 septembre : sur le 400 m, en aviron, en triathlon et tennis de table. Toutes en bronze ! 8 médailles au total...

L'athlète Louis Radius a offert une médaille de bronze à la France, le 10 septembre, sur 1500 m T38, les Bleus comptabilisant ainsi 4 médailles, dont 2 d'or, au terme de la 3e journée des Jeux paralympiques de Rio (7-18 septembre).

L'automutilation (boosting) est utilisée par certains sportifs handicapés comme "produit dopant". Elle augmente la pression sanguine et permet de meilleures performances. Un catalogue des horreurs, de chair et de sang, qui fait froid dans le dos !

Emmanuelle Assmann, présidente du Comité paralympique et sportif français (CPSF) a une ambition pour les athlètes à Rio : "faire mieux qu'à Londres" pour gagner en visibilité car, pour le handisport, "la seule vitrine c'est les Jeux".

Des écouteurs équipés d'un système sensoriel alternatif capable de traduire les sons en vibrations sont désormais disponibles pour les personnes sourdes et malentendantes. Une innovation de pointe imaginée par une créatrice israélienne.

Michaël Jérémiasz, porte-drapeau de l'équipe de France lors des Jeux de Rio, se bat pour rendre le handisport "visible". Il arrêtera ensuite sa carrière dans le tennis fauteuil pro pour se consacrer, entre autres, à ce nouveau challenge.