Accessibilité du village olympique : pari gagné?

Si le village olympique a globalement séduit les athlètes durant les JO, qu'en est-il de leurs successeurs durant les Jeux paralympiques ? L'accessibilité tant vantée par la Solideo est-elle au rdv ? Ryadh Sallem, joueur de rugby fauteuil, répond.

• Par

Septembre 2023. Le ciel de Saint-Ouen, Saint-Denis et de L'île-Saint-Denis est encore saturé des nombreuses grues qui servent à ériger le futur village olympique. Un an plus tard, elles ont disparu pour laisser place à un site de 54 hectares. Celui-ci est désormais occupé par 9 000 personnes, dont 4 400 athlètes venus, pour la plupart, pour la compétition de leur vie : les Jeux paralympiques. 

100 % accessible, vraiment ? 

Largeur des couloirs, ouvertures des portes, douche et accès au balcon sans ressaut... Les logements ont été pensés pour faciliter les déplacements des personnes en situation de handicap moteur mais également sensoriel (avec des éléments de signalétique sonores, visuels et tactiles). Quelques jours après l'arrivée des premiers handisportifs, Handicap.fr a souhaité savoir si l'ambition du « 100% accessible » était respecté. Nous avons donc interrogé Ryadh Sallem, joueur de rugby fauteuil, l'un des derniers porteurs de la flamme paralympique à Paris le 28 août 2024. 

© Solideo

Des athlètes handisport qui entrent au village olympique.
Partager sur :
  • LinkedIn
  • Twitter
  • Facebook
"Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© Handicap.fr. Cet article a été rédigé par Clotilde Costil, journaliste Handicap.fr"
Commentaires0 Réagissez à cet article

Thèmes :

Rappel :

  • Merci de bien vouloir éviter les messages diffamatoires, insultants, tendancieux...
  • Pour les questions personnelles générales, prenez contact avec nos assistants
  • Avant d'être affiché, votre message devra être validé via un mail que vous recevrez.