Septembre 2023. Le ciel de Saint-Ouen, Saint-Denis et de L'île-Saint-Denis est encore saturé des nombreuses grues qui servent à ériger le futur village olympique. Un an plus tard, elles ont disparu pour laisser place à un site de 54 hectares. Celui-ci est désormais occupé par 9 000 personnes, dont 4 400 athlètes venus, pour la plupart, pour la compétition de leur vie : les Jeux paralympiques.
100 % accessible, vraiment ?
Largeur des couloirs, ouvertures des portes, douche et accès au balcon sans ressaut... Les logements ont été pensés pour faciliter les déplacements des personnes en situation de handicap moteur mais également sensoriel (avec des éléments de signalétique sonores, visuels et tactiles). Quelques jours après l'arrivée des premiers handisportifs, Handicap.fr a souhaité savoir si l'ambition du « 100% accessible » était respecté. Nous avons donc interrogé Ryadh Sallem, joueur de rugby fauteuil, l'un des derniers porteurs de la flamme paralympique à Paris le 28 août 2024.
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